MARSEILLE-AUBAGNE :

INTERRUPTION DE LA CIRCULATION LES 8 ET 9 MAI

La circulation ferroviaire sera totalement interrompue entre Marseille et Aubagne du mercredi 8 mai à 14h00 au jeudi 9 mai à 14h00 (jours fériés). Cette interruption entre dans le cadre des travaux de grande ampleur engagés par Réseau Ferré de France pour la réalisation d’une voie supplémentaire entre Marseille et Aubagne.

REPORT DE VOYAGE VIVEMENT CONSEILLÉ

Il est vivement conseillé aux clients TER souhaitant voyager entre les deux gares durant cette période de reporter leur déplacement ou d’opter pour un autre mode de transport*.

Cette interruption impactera également la circulation des trains entre Aubagne et Toulon.

Nous vous communiquerons prochainement tous les détails sur les circulations TER modifiées durant cette période de travaux.

Objectif final : fluidifier le trafic sur l’axe Marseille-Aubagne-Toulon

Ces travaux de grande ampleur engagés par Réseau de Ferré de France entrent dans le cadre de l’augmentation de capacité de la ligne Marseille-Aubagne, dont la mise en service est prévue pour fin 2014.

Cette phase de travaux, nécessitant une interruption de circulation, a notamment pour objectif de réaliser un nouvel aménagement des voies à hauteur de l’embranchement ferroviaire desservant le site



Améliorer les conditions d’accueil en gare des Arcs pendant et après les travaux.


« COMMUNIQUE.
De petites avancées pour l’accueil en Gare des Arcs/Draguignan. Le jeudi 25 avril, les organisations syndicales CGT, Sud-rail et FO étaient reçues en audience par la direction de l’Etablissement d’Exploitation Voyageurs Côte-d’Azur concernant les conditions d’accueil des usagers de la Gare des Arcs/Draguignan depuis le début des travaux. A cette occasion, les organisations syndicales ont déposé les 380 signatures de la pétition qui avait fait l’objet d’une initiative le 25 mars sur le parvis de la Gare. Usagers et Cheminots demandaient ensemble l’amélioration des conditions d’accueil en Gare des Arcs/Draguignan pendant et après les travaux. La direction répond favorablement sur le maintien de l’accès aux « bornes libre service » permettant l’achat et le retrait d’un billet jusqu’au dernier train à réservation, soit 21h30. Les organisations syndicales déplorent néanmoins que la solution trouvée par la direction intervienne 5 mois après le début des travaux. Sur l’accueil et l’attente en gare des usagers, la direction annonce qu’elle n’a pas de solutions à apporter pour améliorer l’accueil et l’attente des usagers et reconnaît avoir occulté cet aspect dans la phase de réalisation des travaux. Une nouvelle fois, l’éclatement de l’entreprise SNCF et sa gestion par « activité » laissent apparaître des dysfonctionnements dont les cheminots et usagers sont les premiers à subir les conséquences. Concernant la création d’un poste d’accueil, la direction reste floue mais laisse entrevoir la possibilité de l’amélioration de la prise en charge des voyageurs. L’intersyndicale CGT, Sud-Rail et FO resteront vigilants sur les engagements de la direction et continueront de veiller à la fois sur les conditions d’accueil des usagers et de travail des cheminots de la Gare des Arcs/Draguignan. »


Réforme du rail

les principales recommandations des rapports Bianco et Auxiette

Vous pouvez consulter le texte des rapports BIANCO et AUXIETTE concernant l’amélioration du fonctionnement de notre système ferroviaire en cliquant sur le lien ci-dessous

http://www.euractiv.fr/industrie/reforme-du-rail-les-principales-recommandations-des-rapports-bianco-et-auxiette-18875.html

Industrie Réforme du rail : les principales recommandations des rapports Bianco et Auxiette

Source : http://www.euractiv.fr/industrie/reforme-du-rail-les-principales-recommandations-des-rapports-bianco-et-auxiette-18875.html
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Note adressée par Ollivier ROBION concernant la desserte TGV en gare Les Arcs – Draguignan au

1er avril 2013

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Le TGV 6174 Les Arcs 10h48 – Paris gare de Lyon 15h11, ne dessert plus la gare des Arcs depuis le 1er avril 2013 ;

Par contre, deux TGV supplémentaires s’arrêtent aux Arcs depuis cette date :

Le TGV 6168, Les Arcs 17h47 – Paris gare de Lyon 22h15 ;

Le TGV 6181, Les Arcs 18h44 – Paris gare de Lyon 23h15.

Desserte TGV en gare des

ARCS – DRAGUIGNAN

en 2013-2014

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L’association des usagers de la gare des Arcs – Draguignan (augad) demande des arrêts de TGV supplémentaires, ainsi que la tarification IDTGV en gare des Arcs-Draguignan.

Liaison Paris

Paris>Nice – TGV 6178 Paris GDL 14h49

Les Arcs 19h14

L’été Paris>Nice – TGV 6183 Paris GDL 18h49

Les Arcs 23h14

Nice>Paris – TGV 6174 Les Arcs 10h45

Paris GDL 15h11

Liaison Lyon

Lyon>Nice -TGV 9757 Lyon 14h36

Les Arcs 17h53

Nice>Lyon -TGV 6852 Les Arcs 8h37

Lyon 11h55

Liaison Metz,Dijon

Metz>Dijon>Nice -TGV 6821 Metz 6h06

et TGV 6842 Dijon 9h17

Les Arcs 14h24

Nice>Dijon>Metz -TGV 5198 Les Arcs 12h37

et TGV 5098 Dijon 17h43

Metz 20h44

Révision du Schéma national des infrastructures de transport : la Fnaut livre ses propositions chiffrées

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Transports Publié le vendredi 22 mars 2013

La Fédération nationale des associations d’usagers des transports (Fnaut) a présenté le 21 mars ses propositions en vue de la révision du Schéma national des infrastructures de transport (Snit), après les avoir soumises à la commission Mobilités 21 chargée par le gouvernement de faire le tri dans les projets du Snit. Pour appuyer ses suggestions, la Fnaut se fonde sur un rapport que RFF vient de faire réaliser par trois experts du secteur des transports, Gérard Mathieu, Jacques Pavaux et Marc Gaudry, évaluant la contribution du réseau et de la politique ferroviaires aux objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de consommation d’énergie pour les déplacements de voyageurs à moyenne et longue distance. « Nous souhaitons qu’il y ait moins de voitures en ville, moins d’avions sur courte distance, moins de camions sur longue distance donc davantage de transports collectifs urbains et davantage de trains, souligne d’emblée Jean Sivardière, président de la Fnaut. Le choix des nouvelles infrastructures est donc crucial : il faut éliminer les projets inutiles et dangereux, hiérarchiser les projets vertueux, dégager les financements nécessaires. Il y a suffisamment de bons projets dans le Snit pour qu’on évite les gaspillages. »

Notre-Dame-des-Landes et le canal Seine-Nord dans le collimateur

Parmi les projets à éliminer aux yeux de la Fnaut, il y a d’abord le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, « inutile et surdimensionné ». « Ce projet est bâti sur des mensonges car l’aéroport existant de Nantes-Atlantique n’est pas saturé et repose sur des illusions, avec des prévisions de trafic irréalistes, des vols quotidiens pour New-York, Pékin, Rio…, une nouvelle voie ferrée Rennes-Nantes infinançable, estime Jean Sivardière. De plus, il y a des coûts immédiats non comptabilisés (accès routiers, création et exploitation d’une desserte par tram-train) et, à plus long terme, des risques financiers pour la collectivité, sans oublier que l’enjeu environnemental est totalement ignoré. » Pour la Fnaut, le projet doit être purement et simplement abandonné. Pour mieux desservir le Grand Ouest, il suffirait donc d’améliorer l’accès par TGV aux aéroports parisiens, Orly et Roissy.
Autre projet jugé « inutile », « très coûteux » et même « dangereux » : le canal à grand gabarit Seine-Nord. « Nous ne sommes pas opposés au transport fluvial à condition de le développer à bon escient, explique Jean Sivardière. Le transport sur les fleuves, qui relient un grand port et un arrière-pays industriel, est à encourager car sur ces axes, le trafic de conteneurs est massif, le rail et la voie d’eau ne sont pas de trop pour concurrencer la route. En outre, une forte capacité est disponible sur les fleuves et les investissements nécessaires sont limités. Par contre, sur les axes interbassins, les trafics sont bien plus faibles et il est absurde de concurrencer le rail qui dispose de capacités inutilisées. A notre avis, un canal à grand gabarit comme le canal Seine-Nord est non seulement inutile et ruineux, mais dangereux car il concurrencerait les ports du Havre et de Rouen au bénéfice de celui d’Anvers. »

Autoroutes : ça suffit

La Fnaut souhaite aussi l’élimination de la plupart des projets autoroutiers inscrits dans le Snit. « Les autoroutes rentables sont construites depuis longtemps et les plus récentes comme l’A63 Pau-Langon sont des échecs financiers faute de trafic, soutient Jean Sivardière. Pour améliorer la sécurité sur les routes « accidentogènes », quelques radars suffisent. Augmenter la capacité des voiries, en particulier dans les zones urbaines, pour éviter les embouteillages est un processus sans fin et contre-productif, car on induit du trafic. Enfin une bonne desserte ferroviaire est plus utile aujourd’hui au développement local. Grenoble, Clermont-Ferrand, Cholet, Oyonnax se sont développés sans autoroutes. »
Le projet de LGV Poitiers-Limoges (1,7 milliard d’euros) est aussi jugé « injustifié ». « La desserte de Limoges doit se faire non par Poitiers, au risque de surcharger la LGV Atlantique et d’assécher la ligne classique POLT [Paris-Orléans-Limoges-Toulouse, NDLR], mais par modernisation de la ligne POLT puis ultérieurement par branchement sur le POCL [Paris-Orléans-Clermont-Lyon] », estime la Fnaut. De même le projet Transline (« barreau Est-Ouest », maillon de la « Via Atlantica ») est qualifié d' »irrationnel » et « doit être éliminé », l’axe Lyon-Limoges n’étant pas « pertinent » pour une liaison Alpes-Atlantique, souligne la Fnaut.

Transports collectifs urbains à développer

A l’inverse, il ne faut pas hésiter à dépenser « pour des projets utiles pour l’économie et vertueux pour l’environnement, même qualifiés de ‘gigantesques, faramineux, titanesques, pharaoniques’ par leurs adversaires », poursuit la Fédération car selon elle, à l’avenir, « la hausse vraisemblable du prix du pétrole et la nécessaire prise en compte du réchauffement climatique provoqueront des transferts de trafic de l’avion et de la route sur les transports urbains et sur le rail ».
Dans cette perspective, les transports collectifs urbains sont plus que jamais à encourager. La Fnaut est satisfaite des annonces du Premier ministre sur le Grand Paris car elle juge important d' »assurer la robustesse du réseau existant » et d' »équiper en priorité les zones denses en première couronne ». Elle regrette toutefois que l’emprise de la Petite Ceinture, à Paris, soit ignorée dans le projet alors qu’elle devrait être « impérativement préservée » pour les transports. Dans les villes de province, la Fnaut appelle à poursuivre l’équipement en transports collectifs en site propre. Elle estime notamment que le tramway classique a toute sa place dans les villes moyennes, dès lors qu’il dessert une population suffisamment nombreuse, et qu’il faut renforcer ou rouvrir certaines lignes ferroviaires périurbaines comme par exemple Lyon-Sathonay-Trévoux.

Accélérer la régénération du réseau ferroviaire classique

Autre priorité pour la Fnaut : l’accélération de la régénération et de la modernisation du réseau ferroviaire classique, à la fois pour enrayer le vieillissement et pour renforcer la capacité et les performances pour les trafics voyageurs et fret. Certaines lignes nouvelles mériteraient aussi de voir le jour, selon la Fnaut. Entre Paris et Mantes, une ligne nouvelle serait nécessaire pour séparer et fiabiliser les trafics franciliens et normands, plutôt qu’une LGV Paris-Normandie qui « n’est pas justifiée économiquement ». Il faudrait aussi construire le contournement ferroviaire ouest de l’agglomération lyonnaise et le tunnel international Saint-Jean-de-Maurienne-Suse, première phase du projet Lyon-Turin, dès lors que trois financeurs sont prévus (la France, l’Italie et l’Union européenne).

1.200 km de LGV à construire

La Fnaut estime aussi que le moratoire préconisé par le ministre du Budget en juillet dernier, ou plus récemment par Jean-Louis Bianco, pour les lignes à grande vitesse (LGV) n’est pas acceptable. « Le réseau français actuel des LGV, même complété par les ‘coups partis’ (Le Mans-Rennes, Tours-Bordeaux, Baudrecourt-Strasbourg et le contournement de Nîmes-Montpellier) est encore loin de sa consistance optimale, insiste Jean Sivardière. D’autant que des lignes classiques (Perpignan-Nice) et même des LGV (Paris-Lyon, Paris-Courtalain) sont saturées, et qu’il serait difficile et très coûteux d’augmenter leur capacité. Elles doivent être donc dédoublées pour permettre le développement du trafic TER et du trafic de fret. » Pour la Fnaut, il resterait 1.200 km de LGV à construire, à condition de respecter plusieurs critères de pertinence : rapprocher de Paris une « poche territoriale » aujourd’hui située à nettement plus de 3h par le train (Toulouse, Béarn, Côte d’Azur), provoquer des transferts massifs de trafic aérien sur le rail (Paris-Toulouse/Marseille-Nice/Milan/Barcelone) ou permettre la circulation de TER à grande vitesse concurrents de la voiture (Avignon-Nice), offrir un maillage du réseau français des LGV ou un raccordement aux réseaux des pays voisins.
Dans ces conditions, la Fédération propose de retenir moins de dix projets : Bordeaux-Toulouse (Captieux-Dax en deuxième phase), Perpignan-Montpellier, la LGV Paca (Marseille-Toulon et Saint-Raphaël-Nice), la deuxième phase de la branche Est du projet Rhin-Rhône, l’interconnexion sud en Ile-de-France, entre Massy et Valenton, le POCL (suivant le tracé médian par Roanne), les deux barreaux Orléans-Courtalain et Dijon-Saulieu pour créer deux grandes transversales Lyon-Strasbourg et Lyon-Rennes/Nantes. D’autres projets de LGV, considérés moins urgents, seraient à reporter à plus ou moins long terme – Bordeaux-Espagne (Dax-Hendaye), Lyon – Saint-Jean-de-Maurienne, Toulouse-Narbonne, Paris-Amiens-Calais (la LGV Nord ne sera pas saturée avant 2050) ou à écarter, faute de trafic potentiel suffisant (branches Ouest et Sud du projet Rhin-Rhône que la Fnaut propose de remplacer par l’unique barreau Dijon-Saulieu).
Au final, la Fnaut propose donc de retenir environ la moitié des LGV inscrites au Snit, et de les construire d’ici à 2035, soit un effort financier de 2 à 2,5 milliards d’euros par an qu’elle ne juge pas hors de portée. « La Suisse a financé son plan Rail 2000 financé par la taxe poids lourds, illustre Jean Sivardière, et la fiscalité écologique offre de nombreuses possibilités. » Et de citer parmi les pistes possibles la taxation du kérosène ou une écotaxe sur les billets d’avion du trafic intérieur, une taxation nouvelle du gazole (7 milliards d’euros par an en cas d’alignement de sa fiscalité sur celle de l’essence), une taxe sur les péages autoroutiers, la taxe poids lourds, le péage urbain ou encore une correction du barème fiscal kilométrique « qui surévalue de 30% environ le coût d’usage de la voiture ».

Les changements dans la  desserte, pour Avril 2013, en gare des Arcs Draguignan

Vers Paris Gare De Lyon

je confirme que l’arrêt du TGV 6174(Nice-Ville 9h34 Les Arcs Draguignan 10h47 Paris GDL 15h11) est supprimé pour le bénéfice de Toulon ,nous ne pourrons pas supprimer l’arrêt de Saint Raphael Valescure (10h31) car c’est le premier TGV pour Paris ,je vous rappelle que le TGV 6172 Les Arcs 8h44> Paris 13h11 nous dessert mais il ne dessert plus saint raphael depuis le 9 Décembre 2012 ,il faut donc le prendre à Toulon, je propose l’arrêt  du TGV 6176 (Nice 11h34 > Les Arcs 12h45 > Paris 17h11) car la suppression du TGV 6174 posera des problèmes. Néanmoins le TGV 6174 est accessible par Toulon  via le TGV 5184 ( Les Arcs 10h39 >Toulon 11h13) TGV 6174 (Toulon 11h20)

Desserte Paris Gare De Lyon

La SNCF prévoit un accroissement de la desserte TGV pour la Cote d’Azur de juillet à août. Elle va mettre en place 2 TGV supplémentaires, Le premier va desservir notre gare, c’est  le TGV Paris 11h41>Avignon TGV 14h25> Les Arcs 16h12 > Nice 17h26 et le deuxième TGV  Nice 10h31 >Paris 16h15 mais il ne nous dessert pas et dommage qu’il ne circule qu’ en juillet et août, il aurait été idéal pour remplacer notre TGV 6174. Ainsi il y aurait toutes les heures un TGV à destination de Paris ou en provenance de Paris

Passons aux bonnes nouvelles

Nouveaux arrêt TGV

-TGV 6168 Nice 16h34 >Les Arcs 17h47 > Paris GDL 22h15 je pense que c’est pour compenser la perte de TGV 6174

-TGV 6180 Nice 17h34 >Les Arcs 18h47 > Paris GDL 23h15  il nous  desservira tous les jours à partir du 1er avril car actuellement ce n’est pas le cas, Rappel : Saint Raphaèl arrêt supprimé pour permettre celui aux Arcs

TGV 5102 Lille 5h56 > Lyon 9h06> les Arcs 12h20 >Nice 13h33 il nous  desservira tous les jours à partir du 1er avril car actuellement ce n’est pas le cas.

Bon week-end à bientôt