Taxi Allenzo :06 87 85 06 45
Taxi Christian A.C ‘TAXI 06 72 16 38 90
TAxi Catherine 06 68 37 94 95
TAxi Dominique 06 85 80 60 45
Taxi Mireille 06 08 62 87 79
Taxi Véronique 06 98 90 08 33
Taxi Allenzo :06 87 85 06 45
Taxi Christian A.C ‘TAXI 06 72 16 38 90
TAxi Catherine 06 68 37 94 95
TAxi Dominique 06 85 80 60 45
Taxi Mireille 06 08 62 87 79
Taxi Véronique 06 98 90 08 33
Association des Usagers de la Gare
Les ARCS-DRAGUIGNAN
Tous en gare des ARCS
Samedi 28 Novembre 2009
pour manifester :
– Notre colère suite à la suppression à partir du 13 Décembre 2009 ,d’un arrêt TGV le 6171 à 12h07 en provenance de PARIS.
– Notre irritation suite aux changements d’horaires des TER et leurs retards à répétition.
– Notre exaspération devant l’inaction de la SNCF et de RFF pour l’amélioration des conditions d’accès au quai n° 2.
Rendez –vous sur le parvis de la Gare des ARCS à partir de 10H
NOUS COMPTONS SUR VOTRE SOUTIEN
AUGAD : BP 19.83460 Les ARCS/ARGENS
Site : augad.fr
bonjour
je soutiens tout à fait votre action pour la gare des arcs
la politique commerciale de la SNCF (soi disant service public )est lamentable
j’ai de nombreux amis ,qui pour aller à Paris prennent l’avion ou vont prendre le TGV à Aix ,du fait que peu de TGV s’arrêtent aux Arcs.
ceci fait de la pollution et encombre les autoroutes .
La SNCF ne cherche pas les clients, car si elle est deficitaire,elle sait que c’est le contribuable qui payera.
Association des Usagers de la
Gare les ARCS DRAGUIGNAN
Draguignan le 9 Novembre 2009
Madame Monsieur, Chers amis
Après la fête, l’action continue.
Nous vous remercions pour votre présence à cette soirée du 16 octobre consacrée au 15ème anniversaire de notre
association.
Nous vous invitons à nouveau à venir manifester votre soutien le Samedi 28 Novembre de 10h à 12h30 sur le parvis de la gare des ARCS-DRAGUIGNAN.
En effet, une fois de plus un arrêt TGV va être supprimé .
A partir du 13 Décembre 2009 le TGV 6171 en provenance de PARIS ne s’arrêtera plus en gare des ARCS-DRAGUIGNAN.
Les modifications d’horaires des TER vont également perturber les personnes utilisant ce mode de transport pour se rendre à leur travail.
D’autre part le dossier sur l’accessibilité des quais est toujours en souffrance dans le service « GARES et CONNEXIONS » à la direction Parisienne de la SNCF.
l’Ecole de Musique des ARCS sera présente à la gare et donnera une touche festive à cette manifestation.
Nous vous invitons à partager ensuite un apéritif convivial au Château Morard. ( 200 m de la Gare).Nous faisons appel aux volontaires qui voudront bien apporter ce jour- là du sucré/salé pour cet « apéritif participatif *». L’association offrira la boisson.
Comptant sur votre présence active, recevez nos sincères et cordiales salutations.
Le président
M POURRIOL
* Ceux qui veulent contribuer au sucré/salé peuvent téléphoner au 0494683632 ou 0682129422
AUGAD : BP 19 ,
83460 Les ARCS/ARGENS
E Mail présidentaugad83@orange.fr
Site : augad.fr
La SNCF s’inquiète pour l’avenir de ses TGV, plombés par les péages
Trop chers, les péages du TGV ? Le train vedette de la SNCF doit supporter l’essentiel de l’effort de rénovation des voies ferrées françaises. Au risque, selon la compagnie, de mettre en péril son équilibre financier
Pour Guillaume Pepy, son président, la SNCF a « quatre cailloux dans la chaussure » qui la gênent face à ses futurs concurrents. Deux concernent directement ses rapports avec Réseau ferré de France (RFF): les travaux de maintenance qu’elle effectue pour lui et surtout les droits de passage de ses TGV.
Les deux autres problèmes sont selon lui le fret ferroviaire et les trains « d’aménagement du territoire », les trains interrégionaux Corail qu’il veut voir subventionnés comme les TER.
La SNCF conteste une décision de principe qui fait porter aux TGV, sa principale source de revenus, l’essentiel de l’effort de régénération du réseau ferré français: ses péages doivent augmenter tous les ans de 60 millions d’euros (en plus de l’inflation du secteur).
Pour la période 2008-2013, RFF indique que la hausse des péages serait de 750 à 780 millions d’euros (dont 450 millions reviendront dans la poche de la SNCF, chargée de l’entretien du réseau), quand la SNCF calcule 940 millions.
A ce rythme, « dans les conditions économiques actuelles », le résultat courant généré par les TGV « sera nul d’ici trois ans si on continue sur cette voie », prévient Mireille Faugère, directrice générale déléguée SNCF Voyages.
Au ministère de l’Ecologie, on s’étonne de ce calcul: « Il y a deux ans, la SNCF faisait 1 milliard d’euros de bénéfices sur le TGV. On a augmenté deux fois les péages de 60 millions: ce n’est pas cela qui a mangé ses bénéfices ! »
Le secrétaire d’Etat aux Transports Dominique Bussereau s’est publiquement agacé de ce débat entre les deux sociétés nationales, alors qu’il avait lui-même décidé la hausse des péages il y a plus d’un an.
« La France est le pays ou les péages ferroviaires sont les plus bas », a-t-il assuré sur RTL. Mais il parlait de moyenne: le TGV français est surtaxé par rapport à ses homologues étrangers, notent des experts.
« Des décisions ont été prises sur le fonctionnement des péages. Les paramètres sont clairs et ne peuvent être remis constamment en cause », juge le député UMP Hervé Mariton, spécialiste des transports.
La compagnie s’inquiète pour la viabilité du « modèle TGV »: sur le TGV Est, par exemple, elle ne fait des bénéfices que sur Paris-Strasbourg. Or, c’est sur les grands axes, les seuls vraiment rentables, que viendront les futurs concurrents. Ces derniers ne s’engageront sans doute pas dans les vallées vosgiennes, alors que la SNCF, qui y perd déjà de l’argent, devra y rester.
Et à l’avenir, à quelles conditions fera-t-on rouler des TGV sur les voies nouvelles prévues par le gouvernement, qui seront en partie financées par des partenaires privés ?
« Je me réjouis qu’il y ait des projets de lignes à grande vitesse, et j’espère que le niveau de péage permettra de faire rouler des trains dessus », note Mireille Faugère à la SNCF. « Car si les péages sont trop élevés, il n’y aura pas de trains supplémentaires. On aura donc construit les lignes pour rien! »
Pour David Azéma, chargé de la stratégie de la compagnie nationale, la solution est claire: « RFF n’a que les péages comme ressources. Il est normal que l’Etat paye, car celui qui a voulu le réseau actuel, c’est le Parlement ».
Or, l’Etat n’a visiblement pas l’intention de mettre plus. Il faudra donc augmenter le prix du billet, quitte à perdre des clients.